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Truffes : Qu'est-ce que la prospection immobilière ?

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작성자 Halley
댓글 0건 조회 6회 작성일 24-10-07 20:19

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l_lachaud_truffes-du-perigord-1er-choix_600x500.png Quelles sont les différentes variétés de truffes noires en tranches et huile de truffe blanche ? En voici l’énumération : légumes verts, salés ou confits, fourrages de diverses sortes, houblon, plants d’arbres, agaric de diverses sortes, bulbes ou oignons, tourteaux de graines oléagineuses, champignons, morilles et mousserons, lycopode, truffes fraîches ou marinées, chardons cardières, racines de chicorée, plantes alcalines, drilles et chiffons, marc de raisins et marc de roses, amurca ou marc d’olives, tourbe crue, mottes à brûler, levure de bière. Nous retrancherions donc de ce chapitre, en les affranchissant de tous droits : d’abord les légumes, qu’il est désirable de voir mettre à la portée de tout le monde, et sans excepter même de cette mesure les légumes salés ou confits ; puis les fourrages, tels que foin, paille, herbe, graines de vesce, son, etc., produits d’encombrement, d’ailleurs si utiles, et dont l’importation ne sera toujours que trop entravée par la difficulté des transports ; puis les plants d’arbres, qui peuvent rendre de si grands services à l’agriculture ; puis encore l’agaric, tant à l’état brut qu’à l’état d’amadou ; les bulbes ou oignons ; les tourteaux de graines oléagineuses, qui servent à l’engrais des bestiaux aussi bien qu’à l’amendement des terres, et qu’il est parfaitement inconséquent de grever de droits quelconques à l’importation, alors qu’on s’efforce d’en arrêter l’exportation ; les champignons, morilles et mousserons, qui ne feront jamais une concurrence bien dangereuse aux nôtres ; le lycopode ou soufre végétal ; les truffes blanches fraîches Tuber Borchii, à quelque état qu’elles se trouvent, qui ne donneront jamais qu’un produit insignifiant, et dont nous exportons beaucoup plus que nous n’importons ; les chardons cardières, si utiles pour la draperie ; les plantes alcalines, dont les unes servent comme engrais, dont les autres sont utilement employées pour la fabrication de la soude ; les drilles et les chiffons, nécessaires à nos fabriques de papier, et qu’il est absurde de frapper d’un droit quelconque à l’importation, alors qu’on en prohibe l’exportation ; les marcs de raisins ou de roses, dont l’importation a été nulle en 1845 ; l’amurca et le grignon, deux sortes de résidus d’olives ; enfin les mottes à brûler et la tourbe, si utilement employées et si nécessaires pour le chauffage du pauvre.


Froids : Œufs pochés bien épongés. Mettre le lait caillé dans un bol, lui ajouter le soda, le sel, l’œuf bien battu, le beurre fondu, la mélasse, la farine ; bien mélanger. Il faudrait d’ailleurs avoir bien peu étudié les vices de notre système fiscal, et les ressources qu’il offre à l’homme habile dont la main saura le féconder, pour douter un seul instant de la possibilité de combler un tel déficit. Cette section ne se compose, en effet, que de deux chapitres dont l’un comprend les pierres, terres et combustibles minéraux, et l’autre les métaux. Si les droits actuels étaient maintenus sur ces deux produits, les recettes qu’ils ont données demeurant à peu près à leur niveau actuel, la perte éprouvée par le trésor sur l’ensemble du chapitre serait très peu considérable ; mais il faudrait ici même de notables réductions. Que si l’on craignait la concurrence que ces produits pourraient faire aux nôtres, nous dirons qu’il en est plusieurs dont nous n’avons pas même les similaires, et que, pour les autres, comme la garance, nous n’avons pas de rivalité sérieuse à craindre, puisque nous sommes nous-mêmes les principaux exportateurs de ces produits. L’amydon au sortir de l’étuve est sec & vénal.


En effet, l’importation de la garance, tant en racines que moulue ou en paille, n’a été, en 1845, que de 142,000 kilog., tandis que l’exportation s’en est élevée à plus de 13 millions. On rencontre, dans le tarif actuel, à propos de ce chapitre, deux prohibitions absolues : l’une regarde l’importation du curcuma en poudre, l’autre, l’exportation des écorces à tan. À ces conditions, il nous paraît hors de doute que l’importation du houblon augmenterait, non pas, comme on pourrait le croire, parce que le produit étranger se substituerait au produit indigène, mais parce que la consommation s’en étendrait. Il y a de prétendus grands esprits qui n’abaisseront sans doute leurs yeux qu’avec dédain sur les détails infimes dans lesquels nous venons d’entrer : il s’agit pourtant, dans tout cela, de l’existence du pauvre, du pain qui le nourrit, du bois dont il se chauffe, du vêtement qui le couvre, des matières premières qui fournissent un aliment à son travail ; mais qu’importent ces objets à ceux qui n’ont que la main à ouvrir pour faire couler sur la terre des ruisseaux de miel ? Rien de plus varié que la nature et le genre des objets qui, au nombre de vingt-quatre à trente, sont compris sous la dénomination générale de produits et déchets divers.


Dans le premier, le produit le plus important que l’on rencontre, c’est la houille ; dans le second, c’est la fonte et le fer, et quoiqu’on y compte en outre un assez grand nombre d’articles de recette, ces deux produits y forment la base essentielle du revenu. Moyennant ce sacrifice, de larges réductions ont été faites sur tous les principaux articles de consommation ; un plus grand nombre d’autres articles ont été entièrement rayés du tarif ; d’immenses facilités sont acquises à l’industrie et au commerce, dégagés par là de leurs vieilles entraves et débarrassés du poids des taxes fort onéreuses qu’ils subissent ; enfin, et ce n’est pas le moindre avantage de ces mesures, le service de la douane est admirablement simplifié. Nous ne croyons pas d’ailleurs qu’il y ait aucune raison pour maintenir des droits sur un seul de ces produits. Produits et déchets divers. 2 fr. 50 c. sur les racines sèches, ne nous paraissent pas trop forts, eu égard à ceux qui frappent les autres produits du sol. Dès à présent, nous pourrions en réduire sensiblement le chiffre, en tenant compte des économies que l’état aurait à faire, tant sur le service de la douane, que sur les primes payées à l’exportation à titre de restitutions de droits, puisqu’il serait naturel et nécessaire que ces primes fussent réduites dans la même proportion que les droits perçus sur les matières premières ; mais cette précaution même nous est inutile, et nous n’aurons pas de peine à faire voir que, nonobstant tous ces dégrèvemens, il est facile d’élever le revenu de la douane fort au-dessus de son niveau présent.

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