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Votre incapacité à accepter que vous simplifiez et vos tentatives pour changer de sujet à chaque fois que je crois établir vos torts sont grandes mais je réponds une dernière fois. Le refus de toute théorie de l'histoire peut entraîner une certaine incapacité à élaborer la construction d'une histoire. Et s'il s'agissait précisément d'une pièce supplémentaire du puzzle ? Incidemment, si Michel Jeury accepte cette hypothèse, il peut s'en trouver rassuré : cette difficulté n'est guère après tout que circonstancielle à ses origines, et le métier acquis lui permettra de la dépasser s'il accepte cette forme d'écriture comme un jeu, conscient et sans conséquences. Elle surgit de son originalité même, qui résulte de son origine différente : à contre-courant de la Science-Fiction traditionnelle qui pousse parfois la passion de la théorie explicative jusqu'au délire paranoïaque, et qui livre à tout bout de champ les secrets de l'univers, du temps, de l'histoire et de l'humanité, l'œuvre science-fictionnelle de Jeury esquive, comme je l'ai déjà souligné, jusque dans sa construction formelle, toute structure générale, toute explication globale, au point de dérouter les amateurs ordinaires du genre

Quant au « chapon gras, » c’est à des prix inconnus de nos jours, à 14, 18 et jusque 25 francs que nous le voyons vendre au moyen âge, la même année et dans la même ville où les vulgaires poulets se vendent de 1 fr. Les goûts, il est vrai, se sont modifiés : nous ne nous délectons plus de la chair coriace du héron ou du butor, qui se vendaient 10 et 15 francs au moyen âge. Le paon fut au moyen âge un mets symbolique, « viande des preux, » « nourriture des amans ; » avant de le rôtir, on l’écorchait, et une fois sorti de la broche, on rappliquait la peau, et on étalait la queue ; une dame de haut rang posait l’animal devant le plus qualifié des convives, qui devait le découper en miettes. Le marsouin, le chien de mer, l’esturgeon commun ou la baleine ne sont plus, comme au moyen âge, servis sur les meilleures tables ; le prolétaire des villes mange produits à la truffe de haute qualité son gré le poisson frais qu’il ignorait jadis et le paysan s’offre le poisson salé que sa cherté réservait autrefois à la bourgeoisie

Car toutes les essences d'arbres ne sont pas disposées à "héberger" la tuber melanosporum, la tuber aestivum, la tuber uncinatum et encore moins la tuber magnatum. L’amande y est plus grosse, le sucre moins acerbe et l’arome plus exalté. Cependant depuis plus de 30 ans, L’INRA, l’Institut National de Recherches Agronomes, a mis au point et amélioré une solution pour inverser la tendance et ralentir la raréfaction de la truffe dans son milieu naturel. Une aubaine pour la truffe qui pouvait donc se développer sans contraintes. La truffe tout au long de l'année ! ● La Tuber Magnatum Pico, la truffe blanche d’Alba, récoltée en Italie au mois d’octobre, dans le Piémont et en Ombrie. ● On récolte aussi la Tuber Brumale en France en octobre, et en Italie la truffe blanche de printemps, bianchetto (Tuber Borchii). ● La Tuber Aestivum, dite truffe de la Saint-Jean, récoltée en juin/juillet, quasiment inconnue en France ; très célèbre en Italie, base de la cuisine à la truffe, avec un prix bien inférieur. Nous rappelons que la truffe est l’organe reproducteur du champignon en question. Ces nouveaux arbres, vierges de tous champignons autres que le champignon de la truffe, pourront plus tard permettre le développement de truffes

Aussitôt pochées, les égoutter sur un linge ; les dresser en turban sur un plat rond et les napper de sauce Suprême bien relevée. Belu, Fred, Florian, et Daniel vont en reconnaissance voir le siphon, il est à nouveau bien rempli. Présent : BELU, Ulysse, Florian, Fred, Michel, Margret, LULU, Domi, Daniel, et plus tard Fernand et Monique, Fafa est excusé par une météo pessimiste ! Lulu, Fernand et Monique rentrent au bercail… Daniel Penez (caméraman) Fred Chauvin, Fernand Borca, Michel Baillet, Dominique Marcel, Anne Marie Angot , Florian Besset pour les acteurs et les éclairagiste. Fernand surveille les groupes à l’entrée, Fafa fume tranquillement sa clop… Conversation : ne coupez pas la parole à votre interlocuteur, sauf en cas de grossièreté ou de vulgarité de sa part, afin de protéger une atmosphère ou un tiers. Nous décidons de l'immité l'équipe a deux personnes les autre resterons en surface et en cas de détérioration de la métèo nous descendons les prévenir. Un jolie puits même a la cote -30 dans une petite salle (sans aval) en amont ont remonte une petite galerie base jusqu'à une bifuccation deux galerie amont bute sur colmatage argileux

En bas on arrive dans une jolie salle où on voit que l'eau remonte parfois sur plusieurs mètres de haut donc il faut se méfier de ce trou, l'avantage c'est quand arrivant par en haut on se rend compte de suite du problème. Nous parvenons au terminus de Fred et a tour de role tous les 10m nous passons chaqu'un notre tour devant pour découvrir cette nouvelle Galerie des Choupette, le reseau remonte puis redescent nous devons nous rapprocher de l'eau l'argile commence a apparaitre sur les paroie ! 10h30 Fred la taupe et Daniel partent avec un sac de munitions pour parler à la chatière FRED après quelques coup de perfo le passage est ouvert aux grands gabarits. Puis nous allons voir le terminus amont, Fred escalade 5 mètres dans le méandre, passe une étroite chatière et explore 30 mètres de galerie en première, arrêt sur RIEN… Aménagement de la sortie du S2.2 Fred Chauvin pour l'élargissement, Belu pour l'équipent du fil d'ariane